Scherf onder aarden scherven : Jesaja 45: 9-10

Scherf onder aarden scherven : Jesaja 45: 9-10. N. Matsier.
In: Een verbeelde God. Red. J. Goud. Zoetermeer : Meinema, 2001, p. 37-43
ISBN 90-211-3846-8

Eerder verschenen als onderdeel van twee lezingencycli, in Trouw van 23 mei 1998, al dan niet in verkorte vorm.

Astronomical References In The Ruba’iyât Of Omar Khayyam

Astronomical References In The Ruba’iyât Of Omar Khayyam. Imad-Ad-Dean Ahmad.

Delivered to the Third International Conference on the Inspiration of Astronomical Phenomena, Mondell, Sicily, January, 2001.

Omar Khayyam was both an astronomer and a poet. We examine the astronomical references in different translations of his poetry and in Elihu Vedder’s illustrations of the first American edition of Edward Fitzgerald’s famous translation as the takeoff points for discussing the controversy as to the meaning of his poetry and the differences in culture between 11th-century Iran where he wrote them and 19th-century Britain and America where Fitzgerald and Vedder respectively were born.

‘Umar Khayyám au mirroir de quelques interprétations modernes, de FitzGerald à Hedáyat

‘Umar Khayyám au mirroir de quelques interprétations modernes, de FitzGerald à Hedáyat. Jacques Huré.
Luqmán 17 (2001) nr. 1, p. 7-15.

‘Umar Khayyám peut être vu, aujouid’hui, comme un «agitateur d’idées», le carrefour où se rassemblent ceux qui s’interrogent sur la portée des textes anciens d’où émane cette notion moderne qu’est l’incertitude du sens, ceux qui s’interrogent sur le rapport entre le discours spirituel et le discours philosophique, et, plus généralement ceux qui discutent de la pensee “oriëntale”, telle qu’elle doit prendre place dans tout débat ouvert aujourd’hui en Occident.

Bois du vin, cueille la rose et pense. Variations d’Omar Khayyam sur le Carpe Diem horatien

Bois du vin, cueille la rose et pense. Variations d’Omar Khayyam sur le Carpe Diem horatien. Christine Kossaifi.
Bulletin de l’Association Guillaume Budé 1 (2001) 2, pp. 171–194.

Summary

L’ivresse de vivre qui habite O. Khayyam jusque dans la certitude de sa finitude est le reflet oriental du sourire tranquille d’Horace, avide de « cueillir le jour » dans sa richesse comme dans sa tristesse. Tous deux voient dans la jaillissement même de la vie la manifestation du divin et les paroles qu’A. Maalouf prêtre à O. Khayyam dans Samarcande auraient pu être celles d’Horace : « je contemple une rosé, je compte les étoiles, je m’émerveille devant la beauté de la création, de la perfection de son agencement, de l’homme, la plus belle œuvre du Créateur, de son cerveau assoiffé de connaissance, de son cœur assoiffé d’amour, de ses sens, tous ses sens, éveillés ou comblés » (p. 22). Des siècles plus tard, le jeune poète Ali Abdolrezaï, qui vit dans la Perse moderne, l’Iran tourmenté par l’intégrisme, dit : « c’est la vie qui écrit mes poèmes ». C’est la même vie, impérieuse, séduisante et éphémère, qui irrigue les Odes d’Horace et qui chante dans les Rubayat d’Omar Khayyam.

Von der Übersetzung zur Intertextualität …

Von der Übersetzung zur Intertextualität – Die Dokumentation fremder und eigener Texte in einer historisch-kritischen Edition. H.T.M. van Vliet.
Editio : internationales Jahrbuch für Editionswissenschaft 15 (2001), p. 67-85.

Van Vliet discusses the complex relationship between original and translation, using the translations by J.H. Leopold of Omar Khayyám’s rubáiyát.

Omar Chajjam und Max Stirner – Eine Brücke zwischen Orient und Okzident

Omar Chajjam und Max Stirner – Eine Brücke zwischen Orient und Okzident. H. Ibrahim Türkdogan. Leipzig, Max-Stirner-Archiv, 2001. 18 p. ISBN: 9783933287403. (Stirneriana, Nr. 19)

Contents

Summary:
Zum Verständniss des Rubai
Omar und Goethe
Omar und zwei seiner Kritiker: Chesterton und Pessoa
Die Welt als Wille und Vorstellung
Ich hab’ Mein’ Sach’ auf nichts gestellt
Eine erzählerische Zeittafel
Einige Rubaijat des Omar Chajjam